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Le blog de Genma

Site original : Le blog de Genma

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Reprendre le temps d'écrire

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

J'ai besoin d'écrire, de partager et ce blog est mon espace personnel, mon espace à moi, une part de ma passion. Du fait d'avoir ce besoin, j'essaie de me reprendre une demi-heure à une heure de façon régulière pour rédiger des billets de blogs. Et ça fait du bien. Cela fera des choses à publier pour moi et à lire pour vous dans les prochains jours et semaines sur le blog. J'avais déjà pas mal d'ébauches d'articles que je compte compléter et finaliser et que je finaliserai.

Mais surtout, je souhaite reprendre les articles de partage technique pour renouer avec ma passion. Je souhaite aussi refaire régulièrement des billets de confidence et de partage, comme les derniers billets publiés récemment. De part les nombreux témoignages que j'ai eu ces dernières années sur ces partages personnels, je vois qu'au delà la thérapie personnelle, ce partage d'expérience est utile, peut aider d'autres personnes.

Je verrai avec les prochaines semaines si j'arrive à m'astreindre à cette sorte de discipline que je veux essayer d'adopter, mais je ne veux pas que ce soit une contrainte. Le rythme de publication, la longueur des textes, la diversité, montreront si j'ai réussi à atteindre ce nouvel objectif.

De l'impact que la fatigue mentale peut avoir sur le physique

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans ce billet intimiste, je voudrais parler de l'impact que la fatigue mentale peut avoir sur le physique.

Comme je l'ai toujours fait depuis l'existence de ce blog, ce billet se veut un témoignage de mon vécu, pour avant tout m'aider moi-même en posant par écrit ce que je ressens et ce que je vis, mais en espérant que d'autres en lisant se sentiront compris, sauront qu'ils ne sont pas seuls à vivre ce qu'ils vivent.

La fatigue mentale, c'est quand on n'arrive pas à couper / éteindre son cerveau qui est en réflexion perpétuelle. J'évoquais tout ça dans mon billet . La nuit, le sommeil est perturbé par des rêves, des angoisses, des préoccupations qui nous réveillent au cours de la nuit. Et insidieusement, la fatigue s'installe. L'épuisement physique est là. On dort, mais on ne récupère pas. On se réveille tout aussi fatigué.

On pense que la solution est de dormir plus, d'avoir plus de sommeil, de compenser. On dort encore plus, profitant des grasses matinées du week-end, et pourtant on est encore plus fatigué. Le moindre temps où il est possible de somnoler est mis à contribution. On est assis dans les transports en commun, il y a quelques stations avant le changement : on somnole, comptant les arrêts. Et il y a ce jour où on rate son arrêt parce que l'on est trop profondément endormi, signe que l'épuisement est allé encore plus loin...

L'épuisement moral fait qu'on est moins concentré, que l'on a envie de rien. Juste de dormir et de repos. Que l'on est irrité, irritable, agressif. On présente tous les signes du manque de sommeil. La privation de sommeil est une forme de torture, et on comprend pourquoi. Les idées noires commencent à faire leurs apparitions. Cet épuisement se rapproche dangereusement des signes de la dépression...

Je ne reviendrai pas sur le pourquoi et comment j'en suis arrivé là, j'ai fait des billets de blog et des conférences sur le sujet, je vous laisse chercher. Comme dit sur les réseaux sociaux, le changement de vie personnel et professionnel à venir dans les prochaines semaines fait que les problèmes à la source de ces problèmes vont finir par prendre fin et seront à peu à peu loin derrière moi. Et c'est ça le message que je voulais faire passer : il ne faut pas sous estimer l'impact que peut avoir la fatigue mentale sur son corps et la seule solution est de résoudre le problème à la source, en prenant les bonnes décisions et si nécessaire en se faisant aider. Il n'y a pas d'autre solution.

Du plaisir de former et d'enseigner

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Mon expérience récente m'a bien appris une chose (parmi des tas d'autres, techniques, en administration système, aussi bien que sur moi-même, ma relation aux autres...), c'est que j'ai plaisir à former et enseigner.

Dans mon billet Être chef d'équipe, retour sur mes bonnes pratiques quotidiennes plus précisément dans la partie Faire passer au tableau, je parlais de mes méthodes d'enseignement et de partage de mon expérience.

J'accorde beaucoup d'importance à la formation des gens, au partage de la connaissance, au fait de se faire sa propre expérience... Je ne paraphraserai pas mon billet de blog écrit précédemment. Je constate juste que plus j'y réfléchis, plus je me dis que partager, expliquer, former, enseigner, c'est vraiment ce que j'aime faire.

Soucis rencontrés avec Borg

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

J'utilise Borg en production depuis quelques mois maintenant et voici donc un retour d'expérience. Je n'ai pas de métrique /temps pour une volumétrie donnée de sauvegarde, je verrai pour faire ça dans un prochain billet je pense. Dans le présent billet je voudrais me concentrer sur les soucis que j'ai pu rencontré avec Borg. Par soucis c'est un bien grand mot. J'ai rencontré différents types d'erreur sans conséquences et pour lesquelles j'ai toujours pu avoir une résolution.

Borg est un logiciel fiable et de qualité, cela faisait partie de mes critères de test et de choix qui ont fait que j'ai d'abord utilisé Borg à titre personnel avant de passer à un usage en production.

Les messages de Borg dans le cas d'erreur sont assez explicites et parlant. Voici les quelques erreurs rencontrées et leurs résolutions.

Problème de lock -Failed to create/acquire the lock

borg create -v --stats /Backup/Dossier_borg/::Projets_`date +%Y-%m-%d-%H:%m:%S` /Projets/
Failed to create/acquire the lock /root/.cache/borg/4f59d52b3ca46decce6e3dedee7a057b64300a49f827629abff259af2bfbe297/lock.exclusive (timeout).

Problème rencontré La sauvegarde Borg refuse de se lancer sur un dossier. Le message parle d'un problème d'un fichier .lock en indiquant le chemin concerné par le lock.

Cause Lorsque Borg lance une sauvegarde sur un dossier, il crée un fichier .lock dans l'espace de sauvegarde qu'il utilise pour ses données. Si le processus Borg a été coupé / interrompu (lancement à travers SSH et perte de réseau ; interruption manuelle de la sauvegarde en cours...)

Résolution On supprime le fichier .lock et le dossier lock à l'endroit indiqué dans le message d'erreur. Et on relance la sauvegarde qui peut alors correctement se dérouler.

Qui des interruptions de Borg ?

Si on lance une sauvegarde Borg à travers SSH et que l'on a une coupure réseau, Borg est capable de reprendre là où il s'était arrêté.

Le nom de la sauvegarde prend alors une extension ".checkpoint" dans son nom, ce qui permet de savoir facilement que cette sauvegarde est incomplète / non achevée. A la relance suivante, si le nom est indentique, Borg repart et finalise cette sauvegarde. Si le nom est différent (dans mon cas je fais des sauvegardes avec un nom de la forme YYY-MM-DD-HH:MM), Borg conserve la sauvegarde avec un .checkpoint dans son nom.

Autres cas

Problème rencontré

Warning: The repository at location ssh://user@machine/Backup/Projet was previously located at ssh://user@machine2/Backup2/Projet
Do you want to continue? [yN] y
Cache is newer than repository - this is either an attack or unsafe (multiple repos with same ID)

Cause

Sur un espace de stockage avec un seul disque, j'ai eu un soucis de perte du disque. Par sécurité, selon la règles des 3-2-1, je fais une deuxième sauvegarde Borg identique sur un autre espace. J'ai donc récupéré les données sauvegardées également avec Borg sur un autre espace. Un Rsync, assez long.

Résolution

Pour que Borg retrouve ses petits, j'ai relancé Borg sur cet espace. Borg indique que l'espace de sauvegarde a changé de chemin, on valide. Et les sauvegardes suivantes se poursuivent en utilisant ce nouvel espace et les données des sauvegardes précédentes.

Cela nous montre qu'un espace de sauvegarde Borg peut être lui même sauvegardé par copie intégrale / déplacé, Borg se débrouillera et fera juste un warning quand on lance l'usage des données de cet espace de sauvegarde.

Conclusion

J'espère que ce retour sera utile à d'autres. N'hésitez pas à laisser en commentaire votre propre expérience de soucis rencontrés dans les usages de Borg. Merci à vous.

Installer des extensions GnomeShell depuis le navigateur

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans ce billet, je ne listerai pas les extensions Gnome Shell que j'utilise (ce n'est pas le but), je parlerai juste du comment installer facilement ces extensions.

En 2017, Antistress publiait sur son blog Libre-ouvert Gérer les extensions pour GNOME Shell avec Firefox en 2017. Nous sommes en 2019 et son billet est toujours d'actualité. Ayant eu besoin d'installer quelques extensions Gnome Shell sur une machine Ubuntu 18.04, j'ai pu vérifié. Et j'ajouterai à son billet quelques compléments ci-dessous.

Le site des Extensions Gnome https://extensions.gnome.org/ liste les différentes extensions disponibles et installables pour différents versions de Gnome.

Une fois l'extension installée, il est possible d'installer puis d'activer ou de désactiver des extensions directement depuis son navigateur (Ce que l'on peut également faire avec l'outil Gnome Tweak pour les applications installées).

Lorsque que vous n'en avez pas usage, je conseillerai de désactiver voir de désinstaller l'extension. L'extension en elle-même n'alourdit pas Firefox (about:performance, cf Quels onglets et quelles extensions ralentissent votre Firefox confirme que ce n'est pas ce qui consomme le plus de mémoire). Mais pour des questions de sécurité, vu que cette extension modifie le comportement de votre environnement de bureau (en ajoutant la possibilité d'ajouter des modules, de les activer ou non), ce pourrait être une porte d'entrée en cas de faille de sécurité (et tout code informatique peut présenter des failles de sécurité).