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L’équation du nichon

vendredi 10 octobre 2014 à 14:46

Alors que je remontais l’Ecosse en stop avec un vieil ami, nous nous sommes faits ramasser par des Suisses. On a terminé dans un village au dessus d’Inverness. Un de nos hôtes, bien pinté, nous confie de but en blanc avec son accent de Genève qu’il aime quand les femmes lui roulent la bite.

Je sais, ce n’est pas facile à expliquer sans geste. Vous voyez les brulures indiennes ? C’est le même principe, mais à la verticale, et sur sa teub.

Enrichi de cette révélation, j’ai compris à quelle point la diversité des plaisirs était vaste. Ici, parlant de la queue d’un inconnu suisse dans le décor de flashback de Highlanders, et surtout de la prise en main qu’il préférait, et qui me paraissant, à moi, parfaitement désagréable.

Malgré cela, je continue d’être surpris par la variété de manières de toucher des nibars.

Ma maman (avec laquelle je parle beaucoup de cul, allez comprendre mon évolution psychique plus tard) m’avait toujours dis qu’il fallait y aller tout doucement.

Mais sur le terrain, le manuel de formation ne sert plus à rien. Il y a celles qui aiment qu’on les caresse. Celles qui aiment qu’on les suce. Celles qui aiment qui les mordille. Les morde. Les prenne en main. Les malaxe. Les tire. Les tord. Les pince. Les giffle. Ou qu’on leur souffle doucement dessus.

Une meuf m’a sorti une fois qu’elle demandait à un copain boulanger de lui bouler les seins, comme les miches de pain, et qu’elle adorait ça.

Il y a les sensibles, et celles qui ne voient pas l’interêt. Les fragiles, et les masos. Les amoureuses de têton, et les fans de la colerette.

Et toutes s’attendent à ce qu’on sache quoi faire parce que “c’est pas bien compliqué”.

Bref, ayant hier couché avec une meuf qui adore qu’on lui tire-bouchonne les tétés, la mémoire de la précédente qui avait mal dès qu’on posait la main dessus m’est revenu en mémoire.

L’équation du nichon a trop d’inconnues pour être résolue a priori. Il faut de la data pour pouvoir en faire quelque chose. De la collecte IRL, avec une mise à jour régulière.

Aussi, en ce jour, je poste cet article solidaire de tous les hommes qui, une fois qu’ils ont retiré le soutif, doivent se lancer dans une étude empirique pour savoir quoi faire avec ces nouvelles mamelles.

Petite astuce cependant, apprenez à retirer un soutien-gorge d’une main, quitte à vous entrainer seul. Ca coûte rien, et c’est la classe.